Cloques sur antifouling coque métallique
publié le 05 Mai 2010 08:35
Bonjour,
Quelqu'un sait il faire la différence entre électrolyse et défectuosité lié au primer ?
Merci,
Quelqu'un sait il faire la différence entre électrolyse et défectuosité lié au primer ?
Merci,
Bonjour,
A tu un primaire au zinc ?
Le primer est de l'Interprime 820 d'International. Je ne trouve pas la composition mais c'est un primer hautes performances.
Bonjour,
On commence à savoir que les bateaux métalliques souffrent d'osmose.
La preuve : j'ai vu aux Antilles un Ovni qui sur sa poupe avait inscrit "OSMOSE". Il n'y avait pas d'accent sur le E parce que toutes les lettres étaient en majuscules.
La vérité finit toujours par éclater.
Nous avions eu ce genre de probleme avec du "metagrip" recouvert d'une fine couche de "bituralpolyvinlique " (ouf),puis d'epoxi "undercoat" ,l'explication donnée par le fabriquant de peinture : "undercoat" trop fine ou poreuse et degagement de gaz en reaction d'un contact zinc /eau de mer .
Autre explication recue par un fabricant d'anodes : trops d'anodes
Coque metalique...acier ou alu ? quel type d'anodes ...zinc ? mercatal? magnesium ?
Primer appliqué directement apres sablage ?
Dom
Coque acier, 12 anodes aluminium. Primer en principe appliqué dans les règles mais solvants résiduels possibles sur l'Interprime 820 en sous-couches.
J'ai rencontré le même problème avec ma coque acier que je possède depuis 5 ans. Le primaire peut parfois se fendiller, s'il n'adhère pas parfaitement; une goutte d'eau de mer passe alors en contact avec l'acier et induit une petite zone de corrosion qui est à l'origine de la cloque. Mon primaire, après sablage a été mal peint sur tribord, et chaque année, je trouve 5-10 petites "cloques" de ce type lorsque j'inspecte la coque à la sortie de l'eau. Celà se traite aisément: gratter ou passer à la meule la zone jusqu'à-ce-que on observe l'acier blanc (ou plutôt argenté); ne pas hésiter à meuler large; passer alors immédiatement la première couche d'époxy (Interprotect) et en appliquer cinq au total, avant de peindre l'antifouling. Si existe une zone de corrosion plus profonde, placer une seule couche de Watertite (mastic epoxy). Toutes mes réparations faites de la sorte tiennent depuis 5 ans.
www.borneo.fm
Merci. Le protocole de traitement me paraît pertinent d'autant que les tests de fuite électrique que j'ai effectué sont négatifs tant pour le 12 V que pour le 220 V.
tu ne dis pas quelle est la taille de ton voilier en acier , mais le nombre 12 anodes aluminium (ou peut etre magnesium ) me paraiT trop important 5nombre et qualité) et tes constatations me font penser a une surprotection ........
Il serait utile de faire mesurer (bateau a flots ) la protection de ta coque en utilisant une anode de reference (AG/AGcl) dans quelle region est tu ?
Dom
1) 13 m et ce n'est pas un voilier
2) Basse Normandie
3) Ce serait effectivement à contrôler
Toutefois, il semble ne pas y avoir de réponse à la question initiale à savoir quelle est la différence entre des cloques électrolyse et défaut de primer, question indépendante de toute autre considération. Peut-être qu'en analysant à l'aide de simples bandelettes réactives le liquide suintant des cloques on pourrait obtenir un début d'éclaircissement ?
Autre question importante me semble-t-il : tes anodes se corrodent-elles ou bien restent-elles en parfait état ?
Quant à l'osmose sur de l'acier... pourquoi pas de la rouille sur du polyester ! Ca me paraît impossible. La seule osmose possible ne pourrait-être que superficielle en ne concernant que le "revêtement de peinture/antifouling" mais en aucun cas la coque en acier en elle-même. Non ?
http://voyage.prosper.free.fr/
J'ai gagné mon pari! Ca a marché! Merci Prosper...
Arf !
T'as gagné quoi ? J'ai droit à un % alors ?
http://voyage.prosper.free.fr/
Quoi que ...
Il y avait à la même époque sur un ponton voisin un bateau plastique appeler "Inoxydable". J'en profite pour passer le bonjour s'ils me lisent à Henri et Patrice ...
Adeline
J"avais parié un verre de San Pellegrino que quelqu'un allait mordre au crochet!
Salut à toi.
Salhub à tous!
Moi aussi j'ai mordu alors on rajoute du pastis dans la salpelefrino. Le contrôle de la coque avec une anode de référence et un multimètre de haute sensibilité est un conseil de pro, mais ne peut se faire quà flot et pas seul. Y a-t-il derrière les cloques une carie du métal? Après décapage haute-pression où se localisent les cloques? Pouvez-vous donner l'historique des couches successives depuis la coque? et qui est raccordé à EDF, avez-vous un circuit 220 avec PdeT?Etc...
La rouille sur les bateaux en plastique j'ai vu: j'ai failli acheter un Nautor (si vous voyez ce que je veux dire...) en Grèce, mais à une société française.Prix suffisamment attractif pour prendre l'avion mais le moteur et les boulons de quille n'étaient plus que rouille sous la peinture neuve .
Je modifie: je préfère définitivement m'oxyder ou m'osmoser avec Labat, Clément, Simonnet, Trois rivières, Damoiseau, Lamauny, Belevue, voire Charette, Nelson.L'osmose des coques métalliques et la rouille du plastique sont des sujets graves qui ne relèvent pas de l'eau gazeuse.
1) Aucune attaque du métal qui est parfaitement sain derrière les cloques.
2) Aucune fuite détectée par les détecteurs sur les circuits 12 V et 220 V.
3) Transformateur d'isolement sur le circuit 220 V.
4) 5 couches Interprime, 1 couche Interprotect, 2 couches BQA 340
1-Arrive-t-on à voir à quel niveau se situe le décollement: coque/1ère couche/2ème/3ème etc
2- la prise de terre 220 est reliée à la coque? c'est obligatoire, non?Et il n'y aurait pas un petite fuite?
Mais l'électrolyse m'étonnerait. plutôt une saleté sur la coque ou du sable pollué. Mais 12 anodes c'est beaucoup, ça finit par coûter cher. Côté intérieur, y a-t-il des signes d'attaque correspondant aux cloques?
bonjour
je me suis retrouvé avec le même problème. J'ai attaqué les cloques au Karcher et me suis rendu compte que l'acier commençait à être attaqué(dans certain cas même de petites dépressions.
j'ai mis à nue la coque et refait l'ensemble des traitements.
historique : le voilier en fin de chantier est en eau douce depuis 5 ans. Le chantier du port pense à une electrolyse et m'a dit qu'en eau douce les seules électrodes efficace sont celles au magnésium (en place se trouvait des "zinc"
Je suis OK pour les possibilité de fuite de courant ou même les effets ponton en allu, mais je me demande s'il n'y a pas un effet maxi entre l'acier de la coque et le cuivre qui semble être dans l'antifouling "international"
composition des couches de traitement sur mon bateau : deux couche epoxy-zinc antirouille Hempel, deux couches "HEMPADUR PRIMER deux couches PRIMOCON INTERNATIONAL et deux couches ANTIFOULING INTERNATIONNAL
J'avoue qu'après avoir vue ce désastre en eau douce je suis un peu inquiet pour l'avenir en eau salée
j'ai besoin d'un conseil ou, au moins d'une explication valable moi aussi
avec toutes mes amitiés
jerom_c
sur mon voilier acier, jai eu aussi des cloques mais la protection meta netais pas touchee!un ami officier de marine mas dis que ca arrivais souvent dans les mers chaudes...jetais en tunisie...sur son conseil jai gratte,mis du primmaire et remis de lantifouling...ca fais maintenant 4 ans et ca nas pas bouje!!! bonne chance!
Aucun des spécialistes consultés n'a trouvé, pas même le chantier constructeur !
Finalement en cause la sur-protection cathodique diagnostiquée avec une électrode Galvatest : j'étais à - 1200 mV ramenés aujourd'hui à - 1000 mV, ce qui a stoppé l'explosion...
he .. c est exactement ce que je pressentais dans ma reponse en Mai ..... et je rencontre ce phenomene plusieurs fois par an ..
Dom
bonjour
comment avez vous fait pour abaisser la protection electrolytique (je suppose que vous avez enlevé des anodes mais lesquel, y a t'il une importance ? )
Ludo
Merci
Dom, exact... Pas difficile d'abaisser : il suffit de repérer les 2 anodes en vis à vis qui débitent le plus et de les peindre. Elles restent ainsi disponibles à poste pour un usage futur. Et de surveiller régulièrement le potentiel de la coque, ce qui permet également de déceler les fuites électriques du bord ou du quai... Vu le prix d'un sablage et d'une re-peinture (voire d'un moteur ou d'un inverseur), je ne comprends même pas que ce ne soit pas imposé par les garanties constructeurs... Sur les gros bateaux, c'est mesuré en permanence.
Ca revient à dire que la mesure de tension entre une anode et une cathode serait dépendante de la masse de l'anode... et là je ne pige pas. Merci d'éclairer ma lanterne, à led.
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Elle est dépendante de la nature de l'anode et de celle de la cathode (échelle galvanique des métaux), le poids joue sur la durée (cf. Petit Livre Blanc de la protection cathodique).
Oui, c'est bien ce qu'il me semble.
Je ne pige toujours pas pour quelle raison le potentiel serait modifié (augmentation ou diminution) par la suppression ou l'addition d'une ou plusieurs anodes...
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le potentiel s'etablit par égalisation des courants cathodique et anodique, lesquels sont proportionnels aux densites de courant sur chaque electrode (qui depend de la nature de l'electrode mais pas de sa surface) et a a la surface des electrodes. l'une est de surfae constante (le metal a proteger) mais la surface de l'anode depend evidemment du nombre d'anodes disposées. a la limite, s'il n'y a pas d'anode le potentiel n'est pas abaissé.
PS: la protection idéale n'existe pas. il faut trouver un compromis "pratique" entre protection de l'acier, consommation de l'anode et degagement d'hydrogene (qui fait des bulles) a bas potentiel
Dans l'exemple ci-dessus, on passe de 1.2V à 1.0V mais mesuré entre quoi et quoi ????
Même question quand tu dis que "sans anode le potentiel n'est pas abaissé".
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Peut-être trouveras tu les réponses à tes questions dans la documentation déjà mentionnée à télécharger sur www.galvatest.fr.
Mille excuses, j'ai zappé la première marche:
Le potentiel dont on parle en électrochimie est le "potentiel d'électrode" (anode ou cathode) qui est une autre façon de nommer la différence de potentiel entre un métal et un électrolyte (l’eau de mer). Il n'est mesurable que par rapport à une "électrode de référence" (c'est sans doute le rôle que joue l’ électrode "galvatest" qui est une marque commerciale). Lorsqu'on met en contact deux métaux, leurs potentiels d'électrode ne sont pas égaux au début, mais ils s'égalisent vite à cause du contact métallique entre le métal à protégé et l'anode. Si le couple métal/anode est bien choisi, le métal à protéger se retrouve à fonctionner en dessous de son potentiel d'électrode standard (il est alors protégé de la corrosion) et l'anode au-dessus (et elle se consomme)
Le potentiel que tu mesures avec ton voltmètre est la différence de potentiel entre la masse du bateau et la galvatest soit, à une constante près, le potentiel d'électrode commun à l'anode et à la cathode en situation de couplage. Plus la surface de l'anode est grande, plus ce potentiel est bas (voir post précèdent) et plus le métal est protégé, mais aussi plus l'anode se consomme et plus ça fait des bulles (d'hydrogène)
PS: quand tu mesures 1,2V ca veut dire en fait que ton métal est à -1,2V par rapport à la référence. je ne connais pas spécifiquement l'etalonnage de la galvatest, mais si c'est ramené à la référence classique (dite ENH), c'est très bas et c'est normal que ca bulle
Si je ne suis pas clair dis le moi et j'essayerai de faire mieux. C'est vrai que ce serait plus facile avec un papier et un dessin.
A mon avis, il y confusion entre les notions de tension et potentiel dans ce que je lis dans la doc...
Pratiquement, avec un voltmètre dans la main, je ne vois pas comment on peut mesurer une baisse de tension
(ma question : mesuré entre quoi et quoi) de 0.2 V par le fait de mettre HS 2 anodes (dans l'exemple donné).
Qu'on veuille modifier l'intensité totale coque/anodes je veux bien ...
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"tension" n'est pas le mot appropié. vous mesurez sans doute la différence de potentiel entre le métal et l'electrode de référence galvatest. le reste de l'histoire dans mes messages précédents.
Oui certes, mais la différence de potentiel entre ma coque alu et la coque en acier de mon voisin (par exemple)
ne va pas toucher ma coque.
Par contre, si je mesure une tension (impliquant par définition le passage d'un courant) alors j'aurai un petit
problème.
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1) la mesure d'une "tension" necesite en effet le passage d'un petit courant mais le voltmetre est ainsi fait (forte impédance) que ce courant est negligeable (sans ca ce n'est pas un bon voltmetre)
2) je m'apercois qu'il y a sans doute confusion sur le signe de la différence de potentiel mesuré; vous mesurez non pas 1,2 V puis 1V mais moins 1,2 puis moins 1V entre la masse du bateau et la galvatest (donc plus 1,2 et plus 1V entre la glavatest et le bateau). c'est cette valeur négative qu'il faut prendre en compte . Et elle ne diminue pas mais augmente de 0,2V en enlevant une anode.
PS: je reprendrai le poste en rentrant d'aller faire mes courses!
La différence est tout de même plus importante que ça dans la pratique car
il y un potentiel entre une anode et une cathode si elle ne sont pas reliées entre-elle
et il y a une tension si elle le sont.
Mon unité de mesure reste le V.
Les effets par contre ne sont pas les mêmes.
Dans la pratique :
1) Je plonge un morceau de zinc (mon anode), un morceau d'alu (ma coque) dans un
bain élecrolytique (la mer).
2) Je mesure un potentiel entre l'anode et la cathode de xx V
3) Aucun courant ne passe.
4) Je relier l'anode à la cathode (ce qui est le cas sur mon bateau).
5) Il y a à présent une tension et je lis toujours xxV (la même tension que sous 2).
6) Un courant passe, l'anode se détruit.
7) J'arrive avec "l'anode de référence Galvatest" et je mesure quoi, où et comment ?
C'est juste pour comprendre...
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C'est clairement expliqué :
1) tension et différence de potentiel (ddp) sont équivalents (loi d'Ohm : U=RI)
2) 2 métaux distincts en continuité électrique plongés dans un électrolyte génèrent un courant électrique (principe de la pile, mécanisme d'oxydo-réduction)
3) par rapport à une électrode de référence de potentiel 0 (Galvatest ou autre) le zinc se mesure à -1050 mV, l'inox actif -550 mV et le bronze -280 mV
4) la protection est acquise 200 mV en deçà du potentiel naturel de chaque métal
5) pour protéger l'inox du bronze, il faut donc mesurer 200 mV en deçà de -550 mV, donc au moins -750 mV, ce qui est le rôle dévolu aux anodes
6) la quantité de courant se mesure et se régule en jouant sur la nature (Zn, Al, Mg) et la quantité (selon équipements à protéger et conditions de mouillage) des anodes, sinon problèmes
That's all folks...
Non, potentiel et tension ne sont pas équivalent (la mesure oui).
Dire qu'un potentiel ou qu'une tension ont le même effet sur l'électrolyse, par exemple, est une erreur.
Ben non désolé, je n'arrive pas à comprendre ce que cette fameuse anode de référence
Galvatest va permettre de mesurer et surtout de corriger !
Si elle mesure le potentiel des matériaux, je crois qu'on les connait déjà depuis pas mal de temps...
Ou alors c'est du vaudou ?
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vous y etes presque :
on mesure bien le potentiel P de l'ensemble du bateau + ses anodes par rapport a l'electrode (et non l'anode) de référence (la galvatest). Ce potentiel est intermédiaire entre celui qu'aurait le bateau sans ses anodes sacrifiielles (appelons le B) et celui qu'auraient les anodes sans le bateau (appelons le A).
C'est l'ecart P-A (begatif) qui protege le bateau (s'il est suffiasant) mais qui en retour fait corroder l'anode
si la protection est "trop forte" (trop d'anodes ou metal mal chosi) A et P sont trop negatifs et cela favorise un degagement d'hydrogene fort , d'ou les cloques.
OK?
Vaudou ? Alors là, désolé mais je ne peux plus rien pour toi...
La mesure des potentiels de coque se pratique en continue avec des électrodes de référence à poste dans les marines marchande et de guerre pour les réguler en temps réel. Il y a des milliers de docs en anglais sur Internet. Interroges Galvatest... Me concernant, ça a résolu mon problème...
Il faudrait vraiment beaucoup d'anodes !

Ca m'intéresse vraiment,
si tu pouvais me donner des liens, merci.
Je dis "vaudou" quand dans une présentation on mélange courant (intensité) avec potentiel électrique...
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j'abandonne...
bonne chance
Nuance ! Quand tu as parlé de vaudou, tu soutenais que potentiel et tension n'était pas équivalents et tu n'as pas parlé d'intensité...
Le potentiel c'est l'écart de tension mesuré entre la coque et l'électrode de référence qui est supposée, comme son nom l'indique, être stable dans un milieu donné et présenter un potentiel de 0 V. En l'occurence les électrodes Ag/AgCl sont stables dans l'eau de mer et présentent un potentiel de 0 V à températures courantes. La tension, c'est l'écart existant entre 2 potentiels. Par léger abus de language, potentiel et tension (et non intensité) représentent donc bien, dans le cas qui nous occupe, la même chose (mesures identiques).
Maintenant je répète que ces pratiques sont des approches professionnelles extérieures à la plaisance et que leur compréhension précise nécessite peut-être que l'on se documente à la source du savoir...
Oui je maintiens, il s'agit de 2 notions différentes. Heureusement d'ailleurs !
Au même titre que la masse et le poids.
Ah oui, le bel argument d'autorité en guise d'argument.
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Voilé j'ai retrouvé le texte du pdf
"Bref, vous l'avez maintenant compris, tout est affaire de courant.
Du juste courant, même, car la quantité nécessaire pour être à l'abri
des problèmes doit généralement se situer entre (-) 200 et (-) 500 mV
en deçà du potentiel métallique à protéger en priorité."
???
je ne pense pas que nous allons beaucoup progresser en continuant dans cette voie, mais je ne peux pas m'empecher de metrre mon grain de sel! même si je croyais avoir titré l'échelle..
ce que dit notre ami Atyas montre a l'évidence qu'il connait son sujet ...Et si vous avez demandé des avis, il faut au moins les écouter, non? certains d'entre nous ne sont pas des bleus sur le sujet (;- >)!
Mais nous restons courtois, bien entendu... rien a voir avec certains autres post sur ce forum, n'est ce pas?
Certes.
Et comme j'écrits de tête et dans le doute, je viens de vérifier :
"La tension électrique est la circulation du champ électrique le long d'un circuit. Elle est souvent confondue avec la différence
de potentiel électrique entre deux points d'un circuit électrique"."
Wikipedia
puisque vous semblez aimer la polémique (au bon sens du terme bien sur) je vous demanderais de m'expliquer quelle différence vous faites entre la circulation du champ et la différence de potentiel?
Je vous aide: Le champ étant l'opposé du gradient de potentiel, sa circluation, qui est l'intégrale curviligne du champ sur sa ligne de champ, est l'oposé de la différence de potenitel.
le calcul intégral vous est sans doute familier. Mais vous n'etes pas le seul.
On arrete la?
Puisque notre ami Vulcain 6ème du nom aime jouer sur les mots, au détriment manifeste d'une réelle volonté de compréhension des phénomènes en cause et de leur éventuel solutionnement, le potentiel auquel je fais allusion dans mes posts est bien évidemment le "potentiel galvanique" des métaux, la précision ne s'imposant pas au vu du sujet traité. Ce qui ne modifie du reste en rien le débat et n'apporte aucune nouvelle information à celles déjà divulguées... Quand à l'abus d'autorité enjoignant la consultation d'un spécialiste, je pense pouvoir l'assumer sereinement...
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