si l'expert n'est pas alerté sur un problème technique d'exécution des travaux, il est parfaitement  illusoire d'attendre qu'il vienne spontanément faire refaire le travail par le chantier

enfin, un des grands principes de l'assurance est le retour, tant que possible,  à l'état initial, principe non appliqué quand le tube passe de 50 à 40 mm alors que rien ne s'oppose à l'installation d'un 50 mm

 Harro sur l'expert!
 Mais là en l'occurrence l'expert n'y est pour rien, et de plus ce n'est pas le rôle d'un expert que de contrôler ou de suivre les travaux. En règle générale, sauf cas particulier, il lui est demandé d'aller évaluer les travaux de remises en état de dommages que l'assuré réclame à tel ou tel titre à son assureur.
 Son seul travail, est de constater les dommages, vérifier qu'ils correspondent ou sont bien en adéquation avec la déclaration de sinistre qui lui est généralement envoyée avec la "mission d'expertise", et si tout est "logique", évaluer le montant des remises en état qui doivent être effectuées "selon les règles de l'art".
  Ses seules contraintes, si l'on peut dire, sont de s'assurer que la réparation sera EVALUEE (et évaluée seulement) au moindre coût, selon les préconisations ou autorisations du constructeur, avec des pièces d'origine et en accord avec le réparateur. Cet accord est généralement obtenu par la signature de l'expert et du réparateur du Procès-Verbal d'expertise. Là s'arrête la mission et le rôle de l'expert. 
  S'il y a problème de non remplacements de pièces pourtant facturées, malfaçons, non conformité des travaux effectués etc.. etc.., cela revient à un problème entre le sinistré et son réparateur, et c'est donc au propriétaire de se re-tourner contre l'auteur des travaux. 
 Dans ce cas particulier, je pense qu'il y a lieu de formuler réclamation auprès de l'assureur, qui mandatera de nouveau "son expert" et qui verra avec le chantier ce qu'il y a lieu de faire pour procéder à la conformité des travaux, sachant qu'au départ l'accord avait été pris sur ces bases. 
 Mais dans pareil cas, l'expérience me dit qu'il vaut mieux venir assister à la nouvelle expertise, assisté d'un "Expert" ou d'un bon professionnel de la réparation qui connait particulièrement bien la marque du bateau, et qui ne se fera pas "mener en bateau" par des arguments ou raisonnements plus ou moins fallacieux qui pourraient éventuellement être avancés par le réparateur. 
  Voilà ce que je pense, et ce n'est pas facile de se dépêtrer de problèmes de ce genre. 
 Cordialement.

 De toutes façons, c'est l'intérêt même du chantier que de voir son client repartir satisfait. (les mauvais bruits courants plus vite que les bons.  .  .  , et bien plus facile d'e perdre 10 clients que d'en ramener 1.  .  .). 
 De plus, si les pièces à remplacer n'existent plus, le réparateur doit en informer son client, afin qu'ensemble ils choisissent les mesures à prendre en pareil cas.(Modifs, pièces adaptables, pièces de récupération (occasion), pièces confectionnées ou tout autre solution qui sera dans les faits prise "en commun accord").
   Dans le cas présent, il semble qu'il soit allé un peu vite en besogne, et que n'ayant pas la pièce, et plutôt que de laisser un bateau "encombrer" son chantier, il s'est mis en quête de procéder "sous son bonnet" aux modifs et transformations qu'il a jugé utiles et qui ne présentaient à priori pas de soucis particulier, tant pour la sécurité que pour le fonctionnement.  Et en agissant ainsi, il s'est mis tout seul dans la "panade" car en tant que pro, il connait par coeur toutes les conséquences d'une mauvaise réparation lorsque celle-ci est découverte!.
   Donc, il est intelligent et fait maintenant ce qu'il aurait dû faire dès le départ.  
  Techniquement, on peut aisément jouer, par l'adjonction de bagues adhoc, et ainsi obtenir une rotation sans vibrations ni fuites de l'arbre dans son tube.

Bonjour, Le pb parait minime.
pour un arbre de 25 le tube de 40 est très courant. c'est le presse étoupe qui va changer. si celui-ci est dans les réparations, le problème disparait.
JJ