bjr , sur tropicat je mets tj les deux en même temps , un peu plus sur celle au vent , au cas ou le cata léve la patte ça diminue l effet croche pieds 

Autre solution. dérive au vent descendue à fond, sous le vent à 1/3 maxi pour mieux déraper en cas de lève patte du flotteur au vent. Pour lutter contre la dérive, un peu d'appui au moteur sous le vent.... ca aide !!!

 en tout cas un vrai plus en cas de mauvais temps d avoir des dérives

Tropicat a écrit :
 en tout cas un vrai plus en cas de mauvais temps d avoir des dérives

 Ce post est bienvenu pour moi, car j'ai un choix cornélien à faire dans le sens ou les dérives occupent pas mal de place dans les flotteurs.
Partant sur une option vie à bord à 100% avec du monde (entre 6 et 8 personnes, quel cata serait adapté à cette contrainte (dans les 46-50 pieds)
Merci
Phil

Pour le près avec dérives, AMHA, dans le petit temps, les deux descendues au maximum... Ensuite quand le vent monte, on remonte progressivement en commençant par celle sous le vent....

Dérives ou pas ??? :
Mon premier cata de croisière avait des plans fixes, je révais de dérives...
Mon deuxième cata a donc eu des dérives (sabres), j'en étais heureux vu le programme du bato (régates et croisière rapide et spartiate, c'était à la fin des années 80).
Quand j'ai arrété les régates, j'ai trouvé les dérives pénibles pour une utilisation croisière pure : bruits, point de faiblesse, quasi impossibilité d'échouage, mise à terre plus délicate... Alors, je les ai remplacé par des plans fixes (avec un dessin et une surface adaptée au cata, merci Erik Lerouge), ce qui me permettait en plus, d'avoir des sails drive mieux protégés et je ne le regrette pas.
J'y perds un peu au près dans le petit temps (mais un appui du moteur sous le vent remplace...), en stabilité de route au portant (le fait de relever les dérives, recule le centre de carène), le reste que du bonheur !